Le leader de Boko Haram, Abubakar Shekau, a soutenu, justifié mais n’a pas revendiqué l’attaque d’une école ayant couté la vie, début juillet, à plus de 40 jeunes nigérians dans l’Etat de Yobe. Ces victimes viennent s’ajouter aux 3600 morts comptabilisés par l’ONG Human Rights Watch depuis 2009 suite aux attentats et massacres perpétués par Boko Haram mais aussi en conséquence de la répression de l’armée régulière. Alors que le gouvernement affirme que des négociations pour un cessez-le-feu ont été engagées avec Boko Haram, Abubakar Shekau dément toutes discussions avec les autorités nigérianes. Entre déscolarisation, fuite et désir de vengeance, le Guardian revient sur les séquelles de cette violence meurtrière.
Juil
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