Publié mardi 7 avril, à la veille des élections législatives nationales, l’article du New York Times prédit un net recul du vote pour les partis qui se réclament de l’islam en politique. Les partis islamistes sont crédités de 20% des suffrages, contre 28% en 2009 et 38% en 2004. Un déclin électoral qui traduit la faible crédibilité des partis islamistes touchés par des scandales de corruption à répétition, et qui font face à une concurrence accrue des forces politiques séculières qui n’hésitent plus à mobiliser les thématiques traditionnellement auparavant portées par les partis islamistes.
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