Pour faire taire la voix des activistes des droits de l’Homme, notamment lors des moments sensibles pour l’Etat, le gouvernement chinois développe de nouvelles méthodes : récemment, plusieurs activistes ont été forcés de prendre des vacances et de se rendre dans des hôtels de luxe à travers le pays – toujours accompagnés de la police. Selon certains activistes, en dépit du caractère somptueux de leurs séjours, cela ne serait qu’une forme plus subtile de détention illégale, soit une « prison en mouvement ».
Juin
26