En 2013, la Cour d’appel du Québec a débouté le Mouvement laïque québécois (MLQ) et le citoyen Alain Simoneau qui soutenaient que la récitation de la prière avant les assemblées du conseil de ville portait atteinte aux droits des citoyens athées et agnostiques et contrevenait au principe de la neutralité religieuse des institutions publiques. Après avoir entendu les deux parties, les juges de la Cour Suprême ont pris la cause en délibéré le 14 octobre dernier. Jocelyn Maclure, professeur de philosophie à l’Université Laval, rappelle les détails de l’arrêt délivré l’année dernière par la Cour d’appel du Québec.
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