En 1984, l’assassinat de la Première Ministre indienne Indira Gandhi par ses gardes du corps de confession sikhe déclenchait une série de pogroms contre cette communauté. Outre les viols et les injures physiques commis, 2733 personnes furent tuées sous le regard complaisant des autorités. A l’occasion des trente ans de ces évènements, Human Rights Watch met en demeure le nouveau gouvernement indien d’enfin condamner les responsables de ces actes et de promulguer des lois empêchant que de telles violences communautaires ne se reproduisent.
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