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Au-delà de la situation humanitaire peu reluisante particulièrement dans la partie est de la RDC, les regards des Congolais sont rivés sur le Parlement congolais qui analyse le projet de loi de réforme sur la CENI. L'Église du Christ au Congo (ECC) a appelé les sénateurs à user de leur sagesse pour recadrer la proposition de loi dite Lutundula (loi sur la réforme de la CENI). Sur le volet sécuritaire, la société civile de l’Ituri a recensé plusieurs cas graves de violations de droits de l’homme depuis l’entrée en vigueur de l’État d’urgence dans cette partie du pays. Sur les hauts plateaux de Fizi, à Minembwe, le colonel déserteur des FARDC, qui a rejoint les groupes rebelles d’autodéfense de la communauté banyamulenge, se dit prêt à négocier avec les autorités congolaises sous l’égide la MONUSCO. Par ailleurs, les parlementaires congolais envisagent l’adoption d’une loi de prévention et de répression de la prolifération des discours de haine au sein de la société congolaise. Ils l’ont fait savoir lors d’une matinée d’échanges organisée conjointement par la Commission des Droits de l’Homme de l’Assemblée nationale et le Bureau Conjoint des Nations Unies pour les Droits de l’Homme (BCNUDH). Beyond the unsavoury humanitarian situation, particularly in the eastern part of the DRC, several Congolese eyes are on the Congolese parliament which is analyzing the draft reform law on the CENI. Passed in second reading in SENAT, the Church of Christ in Congo (ECC) called on senators to use their wisdom to reframe the so-called Lutundula bill (law on the reform of the CENI). On the security front, civil society in Ituri has documented several serious cases of human rights violations since the entry into force of the state of emergency in this part of the country. In the Fizi highlands of Minembwe, the FARDC deserting colonel who has rejoined the rebel self-defence groups of the Banyamulenge community says he is ready to negotiate with the Congolese authorities under the auspices of MONUSCO. In addition, Congolese parliamentarians are also considering the adoption of a law to prevent and punish the proliferation of hate speech in Congolese society. They made this known during a morning of exchanges organized jointly between the Human Rights Commission of the National Assembly and the United Nations Joint Office for Human Rights.
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L'info phare - Source médiatique
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Les jeunes sont appelés à soutenir la MONUSCO dans le rétablissement de la paix à Beni
Les jeunes de Beni sont appelés « à prendre conscience » et à soutenir la Mission de l’ONU en RDC(MONUSCO) dans le rétablissement de la paix, notamment dans la région de Beni (Nord-Kivu) en proie à l’insécurité. Cette structure a lancé cet appel, lundi 7 juin, lors d’une rencontre avec les responsables du bureau de la Mission onusienne. « Imaginez que quelqu’un quitte chez lui, laisse sa famille et tout ce qu’il a de cher et venir au Congo pour soutenir le maintien de la paix. Le parlement des jeunes s’engage aux côtés de toutes les autorités et la MONUSCO pour pouvoir renforcer les campagnes de sensibilisation afin que les jeunes sachent ce qui se passe », a déclaré le président provincial du parlement des jeunes, Me Franck Bisika sur les ondes de la Radio Okapi. Par ailleurs, ces jeunes ont aussi discuté avec la MONUSCO d'une meilleure approche de collaboration pour mettre fin à l’activisme des groupes armés.
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Young people are called to support MONUSCO in the restoration of peace in Beni
The young people of Beni are called upon to "become aware" in order to support the UN Mission in the DRC (MONUSCO) in the restoration of peace, particularly in the beni region (North Kivu) which is plagued by insecurity. This structure made this appeal on Monday, 7 June, during a meeting with the heads of the UN Mission's office. "Imagine someone leaving home, leaving their family and all their loved ones and coming to Congo to support peacekeeping. The youth parliament is committed to all the authorities and MONUSCO to be able to strengthen awareness campaigns so that young people know what is happening," said the provincial president of the youth parliament, Franck Bisika on Radio Okapi.
In addition, these young people also discussed with MONUSCO a better collaborative approach to end the activism of armed groups.
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Conflit dans les hauts plateaux de Minembwe : le colonel déserteur Makanika accepte le « dialogue sous la facilitation de la MONUSCO »
Le colonel déserteur des FARDC Michel Rukunda alias Makanika a exprimé sa volonté de rejoindre le dialogue à condition que ce dernier soit facilité uniquement par la MONUSCO, à Minembwe dans les hauts plateaux du territoire de Fizi (Sud-Kivu). Les leaders locaux et les notables de Minembwe l’ont annoncé mercredi 9 juin à l’issue de plusieurs rencontres ciblées organisées depuis le week-end dernier dans la région. Ces rencontres initiées par la section des affaires civiles de la MONUSCO portent l’évaluation de la situation actuelle de protection des civils à Minembwe et dans ses environs. Les notables banyamulenge confirment avoir engagé leur communauté pour accroître la confiance et la collaboration avec les services de sécurité et principalement les FARDC. Au cours des rencontres organisées sur place à Minembwe, ils ont demandé la facilitation de la MONUSCO pour soutenir les activités de gouvernance de la sécurité locale à Minembwe.
Des sources locales confirment que le colonel déserteur Michel Rukunda Makanika est maintenant prêt à s’engager dans la voie du dialogue, comme les autres seigneurs de guerre dans la région. La MONUSCO, à travers la section des affaires civiles, encourage les jeunes et les notables de Minembwe à continuer de sensibiliser les membres de leurs communautés à se dissocier du soutien aux groupes armés, à travailler au renforcement de la cohésion sociale, au renforcement des relations intercommunautaires et à la consolidation de la paix.
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Conflict in the Minembwe highlands: Deserting Colonel Makanika accepts "dialogue under the facilitation of MONUSCO"
FARDC deserting colonel Michel Rukunda alias Makanika expressed his willingness to join the dialogue on condition that it be facilitated solely by MONUSCO, in Minembwe in the highlands of Fizi territory (South Kivu). Local leaders and notables of Minembwe announced this on Wednesday 9 June at the end of several targeted meetings organized since last weekend in the region. These meetings, initiated by monusco's civil affairs section, assess the current situation of protection of civilians in Minembwe and its surroundings. The Banyamulenge elders confirm that they have engaged their community to increase trust and collaboration with the security services, mainly FARDC. During the on-site meetings in Minembwe, they requested the facilitation of MONUSCO to support local security governance activities in Minembwe.
Local sources confirm that desert colonel Michel Rukunda Makanika is now ready to engage in dialogue, like other warlords in the region. MONUSCO, through the Civil Affairs Section, encourages young people and elders in Minembwe to continue to sensitize members of their communities to dissociate themselves from support for armed groups, to work to strengthen social cohesion, strengthen intercommunal relations and consolidate peace.
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Des conflits sanglants dus à la terre éclatent à Rutshuru
Selon l’enquête réalisée par le site d’information en ligne, Actualité.CD, les conflits communautaires sur l’occupation des terres dans la région de Rutshuru continuent de semer la désolation au sein des familles. En effet, dans le territoire de Rutshuru dans la province du Nord-Kivu, dans l’est de la République Démocratique du Congo, les conflits fonciers sont légion et se terminent parfois dans le sang. Ceci est lié à la mauvaise gestion des terres par l'administration foncière qui s'immisce dans les biens fonciers coutumiers, et certaines contradictions entre la loi foncière n°73-021 du 20 juillet 1973 sur le régime général des biens, régime foncier, immobilier et régime des sûretés.
Les droits des autorités coutumières aggravent ces conflits « sanglants » et représentent 85 % des contentieux qui attendent un dénouement, et ce, malgré la présence des institutions qui prétendent posséder un pouvoir décisionnel sur la terre dans cette partie du pays. De nombreux autochtones estiment être victimes d’extorsion de leurs terres, mais très peu ont la force de s’exprimer à visage découvert, craignant des représailles. Entre volontés de garder les terres ancestrales et l’impératif de cohabitation pacifique entre différentes communautés, la problématique de la distribution des terres à Rutshuru est une véritable poudrière.
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Bloody land conflicts break out in Rutshuru
According to the survey conducted by the online news site, Actualité.CD, communal conflicts over land tenure in the Rutshuru region continue to sow desolation among families. Indeed, in the territory of Rutshuru in the province of North Kivu, in the east of the Democratic Republic of Congo, land conflicts are legion and sometimes end in blood. Following the poor management of land by the land administration that interferes in customary land, and certain contradictions between the Land Law No. 73-021 of 20 July 1973 on the general regime of property, land tenure, real estate and security regime.
The rights of the customary authorities aggravate these "bloody" conflicts and represent 85% of the disputes that are waiting for an outcome, despite the presence of institutions that claim to have decision-making power over the land in this part of the country. Many indigenous people feel they are victims of extortion of their lands, but very few have the strength to speak out with their faces uncovered, fearing reprisals. Between the desire to keep ancestral lands and the imperative of peaceful coexistence between different communities, the problem of land distribution in Rutshuru is a veritable powderkeg.
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Des parlementaires congolais envisagent des solutions légales contre les discours et messages d’incitation à la haine en RDC
En contexte de prolifération des discours de haine sur la scène politique et sociale de la RDC, une matinée d’échange a eu lieu ce mardi 8 juin à Kinshasa, organisée par la Commission des droits de l’homme de l’Assemblée nationale, en collaboration avec le Bureau Conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme (BCNUDH). Au cours de cette activité, des députés nationaux et provinciaux ont pu acquérir des connaissances pour identifier, prévenir et combattre des discours de haine. L’Honorable Christelle Vuanga, présidente de la CDH, dans son discours d’ouverture de la matinée a rappelé que « ces discours et messages affectent nos communautés déjà impactées par divers conflits et tensions communautaires. De nombreuses personnes et groupes continuent à être victimes des messages diffusés et propos tenus sur la place publique, amplifiés par le numérique, appelant à l’intolérance, à la haine tribale, à la xénophobie et à la discrimination ». Dans la même logique, Abdoul Aziz Thioye, représentant de la BCNUDH a souligné le fait que la RDC, un pays post-conflits, a encore des efforts à fournir pour consolider la cohésion nationale, même s’il y a une forte conscience des lignes rouges à ne pas franchir. « Au-delà de nos origines, supprimons, bannissons les discours et messages de haine », a conclu Christelle Vuanga.
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Congolese MPs consider legal solutions to hate speech and messages in DRC
In the context of the proliferation of hate speech on the political and social scene of the DRC, a morning of exchange took place on Tuesday, June 8 in Kinshasa, organized by the Human Rights Commission of the National Assembly, in collaboration with the United Nations Joint Human Rights Office (UNJHRO). During this activity, national and provincial MPs were able to gain knowledge to identify, prevent and combat hate speech. The Honourable Christelle Vuanga, President of the HRC, in her opening speech this morning recalled that "these speeches and messages affect our communities. Already impacted by various conflicts and communal tensions. Many individuals and groups continue to be victims of messages and comments made in the public square, amplified by digital technology, calling for intolerance, tribal hatred, xenophobia and discrimination." In the same vein, Abdoul Aziz Thioye, representative of the UNJHRO, stressed the fact that the DRC, a post-conflict country, still has efforts to make to consolidate national cohesion, even if there is a strong awareness of the red lines not to be crossed. "Beyond our origins, let's suppress, ban hate speech and messages," vuanga concluded.
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En Ituri, la société civile dresse un bilan de 157 morts depuis la proclamation de l’état de siège
Dans une correspondance adressée au président de la RDC et plusieurs fois relayée par les médias locaux, la coordination provinciale de la société civile de l’Ituri dresse un tableau sombre de la situation sécuritaire depuis la proclamation le 6 mai dernier de l’état de siège dont le premier délai de 1 mois avait expiré le 6 juin. Plus de 157 civils tués et 53 autres blessés, 32 personnes enlevées et des dizaines de maisons incendiées, œuvre des groupes armés ADF, CODECO, FPIC et autres Maï Maï actifs dans cette province. Dieudonné Lossa, coordonnateur du regroupement de la Société Civile de l’Ituri parle, quant à lui, d’un véritable « sabotage de l’état de siège » par les miliciens, et dénonce par ce fait même des messages « propagandistes de l’armée » alors qu’elle n’a réussi en un mois à anéantir aucune milice sur plus d’une dizaine qui pullulent sur les cinq territoires de l’Ituri.
Par ailleurs, les forces vives de cette province demandent à Felix Tshisekedi de relever tous les militaires déjà familiarisés avec les groupes armés, d’accélérer le processus de désarmement, démobilisation et réintégration communautaire (DDRC), d’autoriser la réouverture des parquets et juridictions civils et d’ordonner sans délai la traque de tous les groupes armés qui continuent d’opérer en Ituri.
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In Ituri, civil society reports 157 deaths since the declaration of a state of siege
In a letter addressed to the President of the DRC and several times relayed by the local media, the provincial coordination of civil society of Ituri paints a gloomy picture of the security situation since the proclamation on May 6 of the state of siege whose first 1-month deadline had expired on June 6. More than 157 civilians killed and 53 others injured, 32 people abducted and dozens of houses burned, work of armed groups ADF, CODECO, FPIC and other Mai Mai active in this province.
Dieudonné Lossa, coordinator of the Ituri Civil Society group, speaks, for his part, of a real "sabotage of the state of siege" by the militiamen, and denounces by this very fact messages "propagandists of the army" while it has not managed in a month to annihilate any militia out of more than a dozen that abound the 5 territories of Ituri.
Furthermore, the active forces of that province are therefore calling on Felix Tshisekedi to relieve all the soldiers already familiar with the armed groups, to speed up the DDRC community disarmament, demobilization and reintegration process, to authorize the reopening of civilian prosecutors' offices and courts and to order without delay the hunt for all the armed groups that continue to operate in Ituri.
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Une ONG dénonce la mise à l’écart des autochtones et communautés locales par le gouvernement dans le dossier « Grand Inga »
ML’Ong Initiative pour le Développement Local (IDEL) dénonce le fait que le Gouvernement congolais a mis de côté les communautés locales et autochtones du territoire de Luozi, dans la province du Kongo Central, dans la réalisation du projet du grand Barrage Inga. Elle l’a dit au cours d’une conférence de presse organisée ce mardi 8 juin 2021 à Kinshasa. Cette attitude, estime Apollinaire Nsoka Ngimbi, coordonnateur de l’IDEL, est contre la Constitution de la République qui garantit le respect des droits humains ainsi que les droits des communautés locales et des peuples autochtones de Luozi.
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An NGO denounces the exclusion of indigenous people and local communities by the government in the Grand Inga file
ML'Ong Initiative pour le Développement Local (IDEL) denounces the fact that the Congolese Government has side-listed local and indigenous communities in the territory of Luozi, in kongo central province, in the implementation of the Grand Barrage Inga project. She said this during a press conference held on Tuesday, June 8, 2021 in Kinshasa. This attitude, according to Apollinaire Nsoka Ngimbi, Coordinator of IDEL, is against the Constitution of the Republic which guarantees respect for human rights and, where applicable, the rights of local communities and indigenous peoples of Luozi.
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La Communauté islamique du Congo s’apprête à faire appel pour les 30 musulmans condamnés à mort
La communauté islamique de la République démocratique du Congo (Comico) a annoncé sa décision de faire appel à la justice pour les 30 musulmans condamnés à mort. Ces derniers l'ont été à la suite de l’incident survenu à la clôture du ramadan le 13 mai dernier. Il y a en effet eu confrontation entre les musulmans et les policiers. l’imam représentant légal de la Comico, Youssouf Djibondo Kapiepie a indiqué cette décision ce samedi 5 juin 2021, au cours d’un entretien avec la presse. Sheikh Djibondo a également appelé les musulmans au calme. « L’islam est une religion de la paix. Je recommande aux serviteurs d’Allah de le craindre et de lui obéir en tout. Et d’aimer la RDC, car c’est notre seul pays. Évitons de nous faire du mal, car notre religion n’a jamais facilité les troubles » a-t-il martelé.
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Congo Islamic Community prepares to appeal for 30 Muslims sentenced to death
The Islamic community of the Democratic Republic of Congo (Comico) has announced its decision to seek justice for the 30 Muslims sentenced to death following the incident that occurred at the end of Ramadan on May 13, during which there was a confrontation between Muslims and police, indicated this Saturday, June 5, 2021, during an interview with the press, the Imam legal representative of the Comico, Youssouf Djibondo Kapiepie. Sheikh Djibondo called on Muslims to remain calm. "Islam is a religion of peace. " I recommend to the servants of Allah to fear him and obey him in all. And to love the DRC because it is our only country. Let us avoid harming ourselves because our religion has never facilitated unrest," said the Comico's legal representative.
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Indépendance de la CENI : l’Église du Christ au Congo interpelle les sénateurs
L'Église du Christ au Congo (ECC) a demandé mercredi 9 juin aux sénateurs d'user de leur sagesse pour recadrer la proposition de loi Lutundula portant organisation, fonctionnement et attributions de la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Le pasteur Éric Senga, le porte-parole du président de l'ECC, a indiqué dans la presse congolaise que ce recadrage doit plus concerner la neutralité, l'indépendance et la dépolitisation de la CENI.
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Independence of CENI: the Church of Christ in Congo challenges senators
The Church of Christ in Congo (ECC) on Wednesday (June 9th) asked senators to use their wisdom to reframe the Lutundula bill on the organization, functioning and powers of the Independent National Electoral Commission (CENI). Pastor Éric Senga, the spokesman for the ECC president, indicated in the Congolese press that this reframing must be more concerned with the neutrality, independence and depoliticization of the CENI.
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Les remontrances du cardinal Fridolin Ambongo sur les politiciens de la Mongala
Arrivés en nombre important à Lisala dans la province de la Mongala (au nord de la RDC) le 29 mai dernier pour assister au sacre du 4e évêque du diocèse du même nom, les politiciens congolais originaires de cette province ont été sermonnés publiquement par le cardinal Fridolin Ambongo dans une homélie aux allures de réquisitoire. Ce message a été accueilli, par les fidèles catholiques de la région, avec un tonnerre d’applaudissements en faveur du cardinal et des huées à l’encontre des politiciens. L’humiliation et la honte qui ont suivi ont poussé certains d’entre les politiciens à écourter leur séjour.
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Cardinal Fridolin Ambongo's admonitions on the politicians of Mongala
Arriving in significant numbers in Lisala in the province of Mongala (in the north of the DRC) on May 29 to attend the coronation of the 4th bishop of the diocese of the same name, Congolese politicians from this province were well lectured publicly by Cardinal Fridolin Ambongo in his homily at the appearance of an indictment. This message was greeted by the Catholic faithful of the region, with thunderous applause in favor of the cardinal and boos against politicians. The humiliation and shame that followed led some of the politicians to shorten their stay.
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Ce bulletin de veille est réalisé par l’Observatoire Pharos, observatoire du pluralisme des cultures et des religions, dans le cadre de sa mission d’étude de la situation du pluralisme en RDC. Il rassemble des informations, analyses et déclarations qui ne reflètent pas systématiquement la perception de la situation par l’Observatoire Pharos, mais qui constituent des documents à intégrer dans l’analyse. Les destinataires, partenaires de l’Observatoire Pharos, sont invités à contribuer à la qualité de cette veille par le partage de toutes informations utiles et diffusables. This newsletter is written by Pharos Observatory, an observatory of cultural and religious pluralism, as part of its assessment study of religious pluralism in DRC. It gathers information, analyses and speeches which may not reflect Pharos Observatory's feeling about the situation, but which should be taken into account as part of the analysis. All recipients, who are Pharos Observatory partners, are encouraged to contribute to this Watch by sharing any information that is worthwhile and fit to print.
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