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Les rumeurs incessantes d’un coup d’État manqué ainsi que l’arrestation d’un des conseillers de Félix Tshisekedi en matière de sécurité ont dominé l’actualité générale au Congo. En outre, l’actualité congolaise reste également dominée par la préoccupante situation sécuritaire dans plusieurs régions de l’Est du Pays où les groupes rebelles ainsi que les milices communautaires se livrent à des affrontements meurtriers. C’est le cas notamment de la province du Sud-Kivu, à la hauteur des hauts plateaux de Fizi et Minembwe, où les Mai-Mai toronto et gumono se livrent à des affrontements qui occasionnent le déplacement massif de la population. C’est dans ce contexte de plus en plus marqué par l’insécurité, notamment en Ituri que les évêques catholiques réunis au sein de la CENCO ont, dans un communiqué, qualifié d’inadmissible la récurrence des violences dans cette province. Par ailleurs, le meurtre du jeune Congolais au Brésil qui a suscité une grande indignation a été plusieurs fois commenté par la presse locale. Incessant rumors of a failed coup d'état as well as the arrest of one of Felix Tshisekedi's security advisers have dominated the general news in Congo. In addition, Congolese news also remains dominated by the worrying security situation in several regions of the east of the country where rebel groups and community militias are engaged in deadly clashes. This is particularly the case in the province of South Kivu, at the height of the highlands of Fizi and Minembwe, where the Mai-Mai Toronto and Gumono are engaged in clashes that cause the massive displacement of the population. It is in this context increasingly marked by insecurity, especially in Ituri that the Catholic bishops gathered within the CENCO have, in a statement, described as inadmissible the recurrence of violence in this province. In addition, the murder of the young Congolese in Brazil that aroused great indignation has been commented several times by local media.
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L'info phare - Source médiatique
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La Présidence de la RDC annonce l’échec d’une tentative de déstabilisation des institutions du pays
Après l’arrestation du conseiller de Félix Thisekedi en charge de la sécurité, François Beya, dans un message diffusé mardi 8 février 2022 sur la télévision publique, Tharcisse Kasongo Mwema Yamba Yamba, porte-parole de la présidence de la République, a affirmé que les enquêteurs « disposent d’indices sérieux attestant des agissements contre la sécurité nationale ». C’est dans ce contexte que le conseiller spécial du Chef de l’État en charge de la sécurité est détenu dans les locaux de l’ANR depuis samedi dernier. Selon la présidence, ces indices sont suffisamment sérieux et ne peuvent donner matière aux discours de nature séparatiste ou de type tribal, clanique ou régional.
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The Presidency of the DRC announces the failure of an attempt to destabilize the country's institutions
Following the arrest of Félix Thisekedi's security adviser, François Beya, In a message broadcast on Tuesday, February 8, 2022 on public television, Tharcisse Kasongo Mwema Yamba Yamba, spokesman for the Presidency of the Republic, said that the investigators "have serious evidence attesting to the actions against national security". It is in this context that the Special Advisor to the Head of State in charge of security has been detained in the premises of the ANR since last Saturday. According to the presidency, "the indications are sufficiently serious and cannot give substance to tribal speech, clan or regional separatist attitude.
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L’affrontement de deux groupes de milices communautaires au Sud-Kivu à l'origine de déplacements massifs des populations de la région
La ville de Baraka (Sud-Kivu) reçoit à nouveau des déplacés en masse en provenance des villages de la localité de Lweba, dans le secteur de Tanganyika (territoire de Fizi), à la suite des affrontements entre milices communautaires, dont les Mai-Mai Toronto et Gumono depuis le mercredi 26 janvier. En effet, d’après Actualité.cd, plus d’un millier de déplacés en provenance des villages des hauts plateaux de Fizi, notamment Magunga, Bibokoboko, Bijanda, Mugorore, Kakuku, Nyakabara, Lulimba, Kavumu ou encore Mugorore dans les secteurs de Mutambala et de Tanganyika, avaient déjà trouvé refuge en octobre de l’an dernier à Baraka à la suite des affrontements persistants entre les miliciens.
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The clash of two groups of community militias in South Kivu at the root of the massive displacement of the populations of the region
The city of Baraka (South Kivu) is again receiving mass displaced people from villages in the locality of Lweba, in the Tanganyika sector (Fizi territory), following clashes between community militias including Mai-Mai Toronto and Gumono since Wednesday, January 26. Indeed, according to Actaualité.cd, more than a thousand displaced people from the villages of the Fizi highlands, including Magunga, Bibokoboko, Bijanda, Mugorore, Kakuku, Nyakabara, Lulimba, Kavumu or Mugorore in the Mutambala and Tanganyika sectors, had already found refuge in October last year in Baraka following persistent clashes between militiamen.
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L'un des commandants des ADF arrêté par les services de renseignement congolais
Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont mis la main sur sujet kényan d’origine omanaise nommé Salim Muhammad, l’un des responsables de la propagande des Forces démocratiques alliées (ADF). Salim Muhammad, présenté comme l’un des commandants ADF, est celui qui publie souvent des vidéos de propagande avec des civils arrêtés et/ou tués à la machette. Une vidéo le montrant en train d’exécuter un homme a même été relayée sur les réseaux sociaux. Selon des sources concordantes, il a été arrêté par les services spéciaux des FARDC.
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One of the ADF commanders arrested by Congolese intelligence services
The Armed Forces of the Democratic Republic of the Congo (FARDC) got their hands on a Kenyan subject of Omani origin named Salim Muhammad, one of the ADF's propaganda officers. Salim Muhammad, presented as one of the Allied Democratic Forces (ADF) commanders, is the one who often publishes propaganda videos with civilians arrested and or killed with machetes. A video showing him executing a man was even relayed in social networks. According to corroborating sources, he was arrested by the FARDC special services.
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Échec des négociations pour la reddition des miliciens bakata-katanga opérant dans la province du Haut-Katanga.
Les négociations tendant à obtenir la reddition des miliciens bakata-katanga dans la province du Haut-Katanga n’ont pas abouti aux résultats escomptés. En effet, d’après Politico.Cd, les miliciens maï-maï bakata-katanga qui continuent de réclamer l’avènement d’un État indépendant du Katanga ont refusé de déposer les armes et de rejoindre la ville de Lubumbashi comme préconisé par les autorités provinciales. Refusant de prendre place à bord des véhicules apprêtés pour leur transfert à Lubumbashi, les Maï-Maï ont opposé la résistance aux autorités dépêchées à Mitwaba, territoire situé à plus de 400 km de Lubumbashi et se sont repliés en brousse par les villages de Mazombwe et Kapopotshi.
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Failed negotiations for the surrender of Bakata-Katanga militiamen operating in Haut-Katanga province.
Negotiations aimed at obtaining the surrender of the Bakata-Katanga militiamen in Haut-Katanga province have not yielded expected results. Indeed, according to POLITICO. CD, the Mayi-Mayi Bakata-Katanga militiamen who continue to demand the advent of an independent state of Katanga have refused to lay down their arms and join the city of Lubumbashi as advocated by the provincial authorities. Refusing to board the vehicles prepared for transfer to Lubumbashi, the Mayi-Mayi resisted the authorities dispatched to Mitwaba, a territory more than 400 km from Lubumbashi, and retreated into the bush through the villages of Mazombwe and Kapopotshi.
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Bakata-Katanga : « l’État congolais a mal géré cette histoire » souligne le député Pablo Ngwey
Par les médias locaux, réagissant à l’échec des négociations de la reddition des Bakata-Katanga ainsi que de leur récente incursion dans le territoire de Mitwaba, le député national Dieudonné Pablo Ngwej, élu de la province du Haut-Katanga, estime que l’État congolais a mal géré cette « histoire » de Bakata-Katanga depuis toujours. En effet, à en croire cet élu du Haut-Katanga, les miliciens (maï-maï) bakata-katanga avaient été utilisés par l’État congolais après la guerre d’agression en 1998 pour qu’ils luttent contre l’ennemi ; et par la même occasion, ils ont été armés. Ainsi, ce notable dénonce la tendance de deux poids, deux mesures appliquée dans le cadre du Programme DDR DDR (désarmement, démobilisation et réinsertion) où les seigneurs de guerre de l’Est du pays ont été incorporés dans l’armée et d’autres réinsérés dans la société avec la prise du DDR contrairement aux Maï-Maï du Katanga.
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Bakata-Katanga: "The Congolese state has mismanaged this story" says MP Pablo Ngwey
Through the local media, reacting to the failure of the negotiations for the surrender of the Bakata-Katanga as well as their recent incursion into the territory of Mitwaba, the national deputy Dieudonné Pablo Ngwej, elected from the province of Haut-Katanga, believes that the Congolese state has mismanaged this "history" of Bakata-Katanga since always. Indeed, according to this elected representative of Haut-Katanga, the Bakata-Katanga militiamen (Mai-Mai) had been used by the Congolese state at the time of self-defense after the war of aggression in 1998 to fight against the enemy; and at the same time, they were armed. Thus, this notable denounces the double standards applied in the framework of the DDR DDR (disarming, demobilization and reintegration) programme where the warlords of the east of the country have been incorporated into the army and others reintegrated into society with the taking of DDR unlike the Mayi-Mayi of Katanga.
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Grande indignation suite au meurtre d’un jeune Congolais au Brésil
Au Brésil, le meurtre du jeune Congolais Moïse Kabamgabe, dont la vidéo a été plusieurs fois partagée dans les réseaux sociaux a suscité une vive émotion. Âgé de 24 ans et arrivé au Brésil en 2011 avec ses trois frères, ce jeune homme d’origine congolaise venu au Brésil en quête de sécurité, en raison notamment du conflit entre les groupes ethniques Hema et Lendu à l’Est de la RDC, Moïse Kabamgabe a succombé aux coups de ses agresseurs dans un kiosque de Barra da Tijuca, à Rio de Janeiro (RJ). Pour sa part, Folha de Sao Paulo, une coalition noire pour les droits, qui rassemble plus de 200 entités, collectifs et organisations du mouvement noir « le Brésil est un pays raciste où, en 2022, il est possible d’attacher une personne noire par les mains et les pieds, de la battre et de la tuer à coups de matraques ».
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Great indignation following the murder of a young Congolese in Brazil
In Brazil, the murder of the young Congolese Moïse Kabamgabe whose video was several shared in social networks aroused strong emotion. Aged 24 and arrived in Brazil in 2011 with his three brothers, this young man of Congolese origin who came to Brazil in search of safety, due in particular to the conflict between the Hema and Lendu ethnic groups in eastern DRC, Moise Kabamgabe succumbed to the beatings of his attackers in a kiosk in Barra da Tijuca, in Rio de Janeiro (RJ). For its part, Folha de Sao Paulo, a black coalition for rights, « which brings together more than 200 entities, collectives and organizations of the black movement » Brazil is a racist country where, in 2022, it is possible to tie a black person by the hands and feet, beat him and kill him with batons.
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La huitième édition du Festival Amani clôturée sans atermoiements
Du vendredi 4 au dimanche 6 février 2022, la ville de Goma a vibré au rythme de la huitième édition du festival Amani (Paix). Plusieurs acteurs culturels, humanitaires et activistes engagés se sont réunis dans les espaces préparés par les organisateurs pour mener des campagnes et diffuser les différents messages de paix et de vivre-ensemble à l'endroit des festivaliers. Pour rappel, après avoir été annulée en 2021 en raison de la pandémie du coronavirus, la huitième édition du festival Amani a été lancée ce vendredi 4 février à Goma pour prendre fin le dimanche 6 février 2022.
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The eighth edition of the Amani Festival closed without procrastination
From Friday 4 to Sunday 6 February 2022, the city of Goma vibrated to the rhythm of the eighth edition of the Amani (Peace) festival. Several cultural, humanitarian and committed activists gathered in the spaces prepared by the organizers to carry out campaigns and spread the various messages of peace and living together for festival-goers. As a reminder, after being cancelled in 2021 following the coronavirus pandemic, the eighth edition of the Amani festival was launched this Friday, February 4 in Goma to end on Sunday, February 6, 2022.
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La CENCO appelle la classe politique congolaise à s’investir davantage pour rétablir la paix en Ituri
Dans un communiqué publié le 9 février et diffusé par plusieurs médias locaux, la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) a appelé les autorités politico-administratives et militaires de s’investir davantage pour rétablir la paix dans la province de l’Ituri et de poursuivre les auteurs d'atrocités. Dans ce communiqué, la CENCO se dit très affectée et préoccupée par la succession d’attaques perpétrées par la milice de la CODECO et qui ont fait une centaine de morts en l’espace d’une semaine dans le territoire de Djugu, en Ituri. Qualifiant d’inadmissible la récurrence des violences dans cette partie du pays, la CENCO se dit consternée et appelle les autorités d’agir davantage pour stopper le cycle de violence, rétablir la paix et poursuivre leurs auteurs.
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CENCO calls on the Congolese political class to invest more to restore peace in Ituri
In a statement published on February 9 and broadcast by several local media, the National Episcopal Conference of Congo (CENCO) called on the politico-administrative and military authorities to invest more to restore peace in the province of Ituri and to prosecute the perpetrators of atrocities. In this statement, CENCO says it is very affected and concerned by the succession of attacks perpetrated by the CODECO militia and which have killed a hundred people in the space of a week in the territory of Djugu, ituri. Describing the recurrence of violence in this part of the country as unacceptable, CENCO said it was dismayed and called on the authorities to do more to stop the cycle of violence, restore peace and prosecute the perpetrators.
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La société civile du Sud-Kivu invite les acteurs sociopolitiques à l’organisation d’une table ronde entre communautés pour le retour de la paix
Profitant de l’audience accordée par le président du Sénat et originaire du Sud-Kivu, Bhati Lukwebo, la société civile du Sud-Kivu conduite par Joseph Nkizo invite tous les acteurs socio-politiques du Kivu à une table ronde sur la paix et la sécurité au Sud-Kivu. En effet, les représentants des OSC originaires du Sud Kivu, estiment que leur initiative vise à sortir leur province des conflits multiformes qui freinent son développement. Pour rappel, actuellement, la province du Sud Kivu fait face à l'insécurité des groupes armés et aux conflits entre communautés dans les hauts et moyens plateaux de Fizi, Mwenga et Uvira. L'on signale l'entrée récurrente des troupes étrangères.
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Civil society in South Kivu invites socio-political actors to organize a round table between communities for the return of peace
Using the opportunity of the hearing granted to them by the President of the Senate and from South Kivu, Bhati Lukwebo, the Civil Society of South Kivu led by Joseph Nkizo invites all the socio-political actors of Kivu to a round table on peace and security in South Kivu. Indeed, the representatives of CSOs from South Kivu believe that their initiative aims to get their province out of the multifaceted conflicts that hinder its development. As a reminder, South Kivu province is currently facing the insecurity of armed groups and conflicts between communities in the highlands of Fizi, Mwenga and Uvira. There are reports of the recurrent entry of foreign troops.
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Le Rwanda serait responsable des tueries à Goma selon un responsable de la société civile du Nord-Kivu
Revenant sur la situation sécuritaire à Goma lors d’une interview publiée par un média local, Thomas Dacquin, président de la coordination de la société civile force vive de Nord-Kivu, attribue la tuerie des civils pendant les heures nocturnes en ville de Goma aux assaillants d’origine rwandaise. Ceci, selon lui, pour terroriser le chef-lieu de la province du Nord-Kivu. Ainsi, il demande aux autorités congolaises de pouvoir agir urgemment pour trouver la solution à cette « guerre qui fait déjà de nombreuses victimes à l’Est du pays ».
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Rwanda is responsible for the killings in Goma according to a member of civil society in North Kivu
Returning to the security situation in Goma in an interview published by a local media, Thomas Dacquin, president of the coordination of the civil society force vive of North Kivu, attributes the killing of civilians during the night hours in the city of Goma to the attackers of Rwandan origin. This, according to him, to terrorize the capital of the province of North Kivu. Thus, he calls on the Congolese authorities to be able to act urgently to find the solution to this "War that is already causing many victims in the East of the country".
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L’ONU appelle à l’ouverture d’une enquête de l’attaque du site des déplacés en Ituri
Les Nations Unies, à travers la MONUSCO, ont vivement condamné l’attaque perpétrée par un groupe armé contre un camp de personnes déplacées, qui a fait au moins 58 morts parmi les civils, dans la province de l’Ituri et appellent à l’ouverture d'une enquête. En effet, d’après l’ONU, l’attaque visait le site d’accueil pour personnes déplacées de Savo, sur le territoire de Djugu dans la province de l’Ituri et dont le bilan se chiffre à 58 personnes tuées et 36 autres personnes blessées. La cheffe de la Mission des Nations Unies en RDC (MONUSCO), Bintou Keita, a condamné avec la plus grande fermeté cette attaque meurtrière perpétrée par les milices de la Coopérative pour le développement du Congo (CODECO) - une association informelle de divers groupes de milices Lendu.
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UN calls for investigation into attack on IDP site in Ituri
The United Nations, through MONUSCO, has strongly condemned the attack by an armed group on a camp for internally displaced persons, which killed at least 58 civilians, in Ituri province and calls for investigations. According to the UN, the attack targeted the Savo reception site for displaced persons in Djugu territory in Ituri province, which has resulted in 58 people killed and 36 others injured. The head of the United Nations Mission in the DRC (MONUSCO), Bintou Keita, condemned in the strongest terms this deadly attack perpetrated by the militias of the Coopérative pour le développement du Congo (CODECO) – an informal association of various Lendu militia groups.
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Festival Amani : la Monusco invite les jeunes à s’engager pour la paix
Lors de l’ouverture du Festival Amani dans la ville de Goma, la Représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU en RDC, Bintou Keita a invité les responsables des organisations de jeunes du Nord-Kivu à rester déterminés et engagés dans leur travail de consolidation de la paix. Pour rappel, la 8e édition du festival pour la paix dans la région des Grands Lacs, ouvert vendredi 4 février au village Ihusi dans l’ouest de la ville de Goma, est placée sous le thème, « Engage-toi, engageons-nous ». Par ailleurs, Bintou Keita a indiqué que l’engagement des jeunes et des femmes est capital pour la restauration de la paix dans cette partie de la RDC.
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Amani Festival: MONUSCO invites young people to commit to peace
At the opening of the Amani Festival in the city of Goma, the Special Representative of the UN Secretary-General in the DRC, Bintou Keita, invited the leaders of youth organizations in North Kivu to remain determined and committed to their peacebuilding work. As a reminder, the 8th edition of the festival for peace in the African Great Lakes region, opened on Friday 4 February at Ihusi village in the west of the city of Goma, is placed under the theme, "Get involved, let's get involved". Bintou Keita said that the commitment of youth and women is crucial for the restoration of peace in this part of the DRC.
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Ce bulletin de veille est réalisé par l’Observatoire Pharos, observatoire du pluralisme des cultures et des religions, dans le cadre de sa mission d’étude de la situation du pluralisme en RDC. Il rassemble des informations, analyses et déclarations qui ne reflètent pas systématiquement la perception de la situation par l’Observatoire Pharos, mais qui constituent des documents à intégrer dans l’analyse. Les destinataires, partenaires de l’Observatoire Pharos, sont invités à contribuer à la qualité de cette veille par le partage de toutes informations utiles et diffusables. This newsletter is written by Pharos Observatory, an observatory of cultural and religious pluralism, as part of its assessment study of religious pluralism in DRC. It gathers information, analyses and speeches which may not reflect Pharos Observatory's feeling about the situation, but which should be taken into account as part of the analysis. All recipients, who are Pharos Observatory partners, are encouraged to contribute to this Watch by sharing any information that is worthwhile and fit to print.
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