Centenaire de la République / Héritage kémaliste / Karabakh / Journalisme ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­
 
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VEILLE PHAROS / TURQUIE
3 novembre 2023
 
 
 
 
 

Dans la veille + Turquie de cette semaine, la Turquie célèbre discrètement le centenaire de la fondation de sa République par Mustafa Kemal Atatürk. Ensuite, le gouvernement de l’AKP semble prendre ses distances vis-à-vis de l’héritage kémaliste en insistant davantage sur les changements opérés en Turquie depuis 20 ans.

Dans une perspective de politique interne et étrangère, la première dame de Turquie, Emine Erdoğan, exprime son soutien aux Palestiniens, affirmant de plus en plus son rôle sur la scène médiatique.

Aussi, nous proposons un article faisant le point sur le Karabakh : les nouvelles réalités, et les nouvelles opportunités depuis septembre 2023.

Enfin, le média Anadolu Agency témoigne de ses condoléances à la suite de l'assassinat de la famille d'un journaliste d'Al Jazeera à Gaza.


In this week's watch+ Türkiye, Türkiye quietly celebrates the centenary of the founding of its republic by Mustafa Kemal Atatürk. Secondly, the AKP government seems to be distancing itself from the Kemalist legacy, placing greater emphasis on the changes that have taken place in Türkiye over the past 20 years.

From a domestic and foreign policy perspective, Türkiye’s First Lady, Emine Erdoğan, is expressing her support for the Palestinians, increasingly asserting her role on the media scene.

We also feature an article on Karabakh: new realities and opportunities since September 2023.

Finally, the Anadolu Agency expresses its condolences following the murder of the family of an Al Jazeera journalist in Gaza.

 
 
 
 
 

L'info phare - Source académique

 
 

La Turquie célèbre discrètement le centenaire de sa république


La Turquie commémore le centenaire de sa république, mais de nombreuses festivités prévues dimanche ont été annulées en raison de l'escalade des attaques israéliennes contre la bande de Gaza assiégée. Cette affaire peu médiatisée montre les conséquences profondes de la guerre sanglante entre Israël et le Hamas, mais elle soulève également des divisions gênantes au sein de la société turque concernant l'héritage laïc de l'État, dont le président Recep Tayyip Erdoğan a cherché à remettre en cause certains éléments. Dimanche, M. Erdoğan a déposé une couronne de fleurs au mausolée de Mustafa Kemal Atatürk, le père fondateur vénéré de la Turquie. « Notre pays est entre de bonnes mains, vous pouvez reposer en paix », a-t-il déclaré. M. Erdoğan devait ensuite se rendre à Istanbul pour assister à une procession de navires militaires sur le Bosphore, suivie d'un spectacle de drones et de feux d'artifice. Il était prévu qu'il prononce un discours pour marquer cette étape et mettre en avant les réalisations de son gouvernement. Toutefois, la Turquie a réduit l'ampleur de la fanfare prévue pour cet événement unique en son genre. Elle n'a pas organisé de réception officielle et a annulé la couverture télévisée spéciale des concerts et festivités prévus, invoquant la « tragédie humaine alarmante à Gaza ». L'apparition d'Erdoğan lors d'un rassemblement pro-palestinien à Istanbul la veille a également éclipsé en partie le centenaire. Il y a accusé Israël de se comporter comme un « criminel de guerre » et a déclaré qu'un « massacre vicieux se déroulait à Gaza ».

Türkiye quietly celebrates 100-year anniversary as a republic



Türkiye is commemorating its 100-year anniversary as a republic, but many of the festivities planned for Sunday have been called off against the backdrop of Israel’s escalating attacks on the besieged Gaza Strip. The low-profile affair shows the far-reaching impacts of the bloody Israel-Hamas war, but also brings up uncomfortable divisions within Turkish society over the state’s secular legacy, elements of which President Recep Tayyip Erdoğan has sought to challenge. On Sunday, Erdoğan laid a customary wreath at the mausoleum of Mustafa Kemal Atatürk, Türkiye’s revered founding father. “Our country is in safe hands, you may rest in peace,” he said. Erdoğan was scheduled to travel to Istanbul afterward to watch a procession of military ships on the Bosporus, followed by a drone and fireworks show. He was expected to deliver a speech marking the milestone, to play up his government’s accomplishments. However, Türkiye cut down on much of the fanfare expected for the once-in-a-century event. It held no official state reception and cancelled special TV coverage of planned concerts and festivities, citing the “alarming human tragedy in Gaza”. Erdoğan’s appearance at a pro-Palestine rally in Istanbul the day before also partly eclipsed the centennial. There, he accused Israel of behaving like a “war criminal” and said there was a “vicious massacre happening in Gaza”.

 
 

Source médiatique

 
 

La Turquie à 100 ans : qu'adviendra-t-il de l'héritage d'Atatürk ?


Depuis des semaines, les Turcs laïcs se demandaient si le gouvernement islamo-conservateur du président Recep Tayyip Erdoğan allait célébrer le 100e anniversaire de la fondation de la république turque le 29 octobre. Jusqu'à il y a quelques jours, aucun programme officiel n'était prévu. Selon la rumeur, les diplomates étrangers se demandaient entre eux si quelqu'un avait reçu une invitation. Finalement, le 20 octobre, le service de communication d'Erdoğan a annoncé qu'il y aurait une série d'événements - dans lesquels l'ère Erdoğan occuperait une place centrale. Cette nouvelle a confirmé les craintes des laïcs selon lesquelles Erdoğan tente de minimiser l'héritage du père fondateur Mustafa Kemal Ataturk et, à sa place, de créer un culte d'Erdoğan en tant que dirigeant d'un pays conservateur. Le
« siècle turc » était le slogan de campagne avec lequel Erdoğan a remporté les élections en mai avec son parti de la justice et du développement (AKP), s'assurant ainsi le pouvoir pour cinq années supplémentaires. Déjà au pouvoir depuis plus de 20 ans, il souhaite désormais entrer dans l'histoire comme l'homme d'État qui a conduit la république dans son deuxième siècle.

Türkiye at 100: What will become of Ataturk’s legacy?



For weeks, secular Turks had been wondering whether the conservative Islamic government under President Recep Tayyip Erdoğan would celebrate the 100th anniversary of the founding of the Turkish republic on October 29. Until just a few days ago, there was no official program planned. Foreign diplomats were also rumored to be asking one another if anyone had received an invitation. Finally, on October 20, Erdoğan’s communications department announced that there would be a series of events — in which the Erdoğan era would take center stage. The news confirmed secular fears that Erdoğan is trying to downplay the legacy of founding father Mustafa Kemal Ataturk and, in his place, create a cult of Erdoğan as the leader of an Islamist country. The « Turkish Century » was the campaign slogan with which Erdoğan won the elections again in May with his Justice and Development Party (AKP), securing his power for another five years. Already in government for more than 20 years, he now wants to go down in history as the statesman who led the republic into its second century.


 
 

La première dame de Turquie, Emine Erdoğan, exprime son soutien aux Palestiniens


La première dame de Turquie, Emine Erdoğan, a exprimé samedi son soutien aux Palestiniens dans le cadre du récent conflit entre le Hamas et Israël. « Nous avons crié au monde d'une seule voix depuis Istanbul pour être la voix des mères de Gaza, des enfants et de tous les innocents qui crient en silence », a déclaré Mme Erdoğan en partageant une photo de la grande manifestation pour la Palestine, un rassemblement pro-palestinien à Istanbul. « Nous ne pourrons parler d'humanité, de conscience et de miséricorde que le jour où l'oppression israélienne cessera et où nous verrons des enfants jouer en toute sécurité à Gaza. Ce jour-là, nos cœurs et nos esprits trouveront également la paix. D'ici là, nous continuerons à soutenir le peuple palestinien », a-t-elle déclaré. Des milliers de personnes ont participé à la grande réunion sur la Palestine samedi. Des personnes de tous horizons, portant des drapeaux turcs et palestiniens, se sont rassemblées à l'aéroport Atatürk. Certains portaient des bandeaux avec l'inscription « Nous sommes tous des Palestiniens » « Mettez fin au génocide, laissez les enfants vivre » et « Soyez la voix des enfants palestiniens ». L'artiste de renommée internationale Yusuf Islam a pris la parole lors du rassemblement. Ces déclarations démontrent l’implication de la Première dame de Turquie dans la politique interne et sa présence croissante sur le plan médiatique.

Türkiye’s First Lady, Emine Erdoğan, expresses her support for the Palestinians


Türkiye's first lady, Emine Erdoğan, expressed her support for the Palestinians in the recent conflict between Hamas and Israel on Saturday.
"We cried out to the world with one voice from Istanbul to be the voice of the mothers of Gaza, the children and all the innocents who cry out in silence," said Mrs. Erdoğan, sharing a photo of the Great Palestine Demonstration, a pro-Palestinian rally in Istanbul. "We can only speak of humanity, conscience and mercy the day Israeli oppression ends and we see children playing in safety in Gaza. On that day, our hearts and minds will also find peace. Until then, we will continue to support the Palestinian people", she declared. Thousands of people took part in the big meeting on Palestine on Saturday. People from all walks of life, carrying Turkish and Palestinian flags, gathered at Atatürk airport. Some wore headbands reading "We are all Palestinians", "Stop the genocide, let the children live" and "Be the voice of Palestinian children". Internationally renowned artist Yusuf Islam spoke at the rally. These statements demonstrate the Turkish First Lady's involvement in domestic politics and her growing presence on the international stage.

 
 

Le point sur le Karabakh : nouvelles réalités, nouvelles opportunités


Le conflit gelé dans la région du Karabakh dure depuis des décennies, sous l’œil attentif de la Turquie. Des années d'efforts et de diplomatie du groupe de Minsk, coprésidé par la France et la Russie, ont été vaines et n'ont pas permis de trouver une solution, ce qui a conduit l'Azerbaïdjan à prendre les choses en main. L'Azerbaïdjan a lancé une opération éclair le 19 septembre, a repris le contrôle du Karabakh et a tenu pour la première fois des discussions avec des représentants de sa population d'origine arménienne sur la réintégration de la région dans le pays. Le président de l'Azerbaïdjan, Ilham Aliyev, a promis que les droits des Arméniens de souche de la région seraient protégés. Cette victoire, qui met fin à un conflit de plus d'un siècle, et la reconstitution de l'intégrité territoriale de l'Azerbaïdjan ont surpris la communauté internationale, car Aliyev a su profiter d'un moment stratégique, alors que l'Occident et la Russie étaient occupés par le conflit avec l'Ukraine. L'Arménie est membre de l'Organisation du traité de sécurité collective (OTSC), une alliance de sécurité dirigée par Moscou et composée de six États post-soviétiques - un groupe qui s'engage à protéger ses membres en cas d'attaque. Toutefois, Moscou semble avoir accepté l'opération, car les forces russes stationnées sur les lieux du conflit n'ont pas agi pour mettre un terme à l'entreprise de Bakou. Erevan, une ancienne république soviétique qui s'oriente de plus en plus vers l'Occident, et les exercices militaires conjoints avec Washington ce mois-ci ont renforcé l'antagonisme de la Russie à l'égard du régime arménien. Ankara, qui considère que la Turquie et l’Azerbaïdjan sont « une patrie, deux États », apporte un soutien à ce dernier tout en essayant de normaliser ses relations avec l’Arménie.

The Karabakh update: New realities, new opportunities




The frozen conflict in the Karabakh region had been continuing for decades. Years of efforts and diplomacy of the Minsk group, co-chaired by France and Russia, have been pointless and void of finding a solution, leading Azerbaijan to take issues into its own hands. Azerbaijan launched a lightning operation on Sept. 19, retook control of Karabakh and held initial talks with representatives of its ethnic Armenian population for the first time on reintegrating the area back into the country. Azerbaijan’s President Ilham Aliyev vowed that the rights of ethnic Armenians in the region will be protected. The victory, ending a conflict that lasted for more than a century, and the reconstitution of Azerbaijan’s territorial integrity surprised the international community as Aliyev used a strategic time as the West and Russia were busy with the conflict with Ukraine. Armenia is a member of the Collective Security Treaty Organisation (CSTO), a Moscow-led security alliance comprised of six post-Soviet states – a group that pledges to protect members in case of an attack. However, Moscow seems to have acquiesced to the operation as the Russian forces stationed at the scene of conflict did not act to halt Baku’s undertaking. Yerevan, a former Soviet republic pursuing an increasingly Western-oriented approach, and joint military drills with Washington this month built up to Russia’s antagonism toward the regime in Armenia. Ankara, which considers Türkiye and Azerbaijan to be
"one homeland, two states", supports the latter while trying to normalize relations with Armenia.

 
 

Condoléances d'Anadolu à la suite de l'assassinat de la famille d'un journaliste d'Al Jazeera à Gaza


Anadolu Agency a exprimé ses condoléances, mercredi, à la suite de la mort de membres de la famille du journaliste d'Al Jazeera Wael Al-Dahdouh, victimes d'un raid aérien israélien sur la Bande de Gaza.
« Nous avons reçu le nouveau tragique de la mort de la femme et des enfants du correspondant d'Al Jazeera, Wael Al-Dahdouh, qui ont péri plus tôt dans la soirée lors d'un raid aérien israélien à Gaza. Je tiens à exprimer mes plus sincères condoléances à Wael Al-Dahdouh, à ses proches et à la famille d'Al Jazeera », a écrit le président-directeur général de l'agence, Serdar Karagoz, sur la plateforme X (ex-Twitter). La femme, le fils et la fille du correspondant ont été tués par une frappe qui visait une maison dans le sud de la Bande de Gaza, a précisé la chaîne qatarie. La famille avait déjà été déplacée de son domicile vers le camp de réfugiés de Nuseirat, dans le sud de Gaza, en raison des frappes aériennes israéliennes. Selon Al Jazeera, Al-Dahdouh, correspondant du service arabe de la chaîne, couvrait les frappes aériennes israéliennes lorsqu'il a appris la nouvelle de la mort de sa famille. Cet hommage de l’agence Anadolu au journaliste de la chaine Al Jazeera se fait dans le cadre d’un fossé croissant entre les médias occidentaux et les médias dans le monde arabe et plus largement au Moyen-Orient, notamment dans la perception du conflit israélo-palestinien.

Anadolu's condolences following the murder of the family of an Al Jazeera journalist in Gaza



Anadolu Agency expressed its condolences on Wednesday following the deaths of family members of Al Jazeera journalist Wael Al-Dahdouh, victims of an Israeli air raid on the Gaza Strip. "We have received the tragic news of the death of the wife and children of Al Jazeera correspondent Wael Al-Dahdouh, who perished earlier this evening in an Israeli air raid in Gaza. I would like to express my deepest condolences to Wael Al-Dahdouh, his loved ones and the Al Jazeera family," wrote the agency's CEO, Serdar Karagoz, on the X platform (former Twitter). The correspondent's wife, son and daughter were killed in a strike that targeted a house in the southern Gaza Strip, the Qatari channel said. The family had already been moved from their home to the Nuseirat refugee camp in southern Gaza as a result of Israeli air strikes. According to Al Jazeera, Al-Dahdouh, a correspondent for the channel's Arabic service, was covering the Israeli air strikes when he heard the news of his family's death. Anadolu Agency's tribute to the Al Jazeera journalist comes against the backdrop of a growing gap between the Western media and the media in the Arab world and the wider Middle East, particularly in the perception of the Israeli-Palestinian conflict.

 
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Ce bulletin de veille est réalisé par l’Observatoire Pharos, observatoire du pluralisme des cultures et des religions, dans le cadre de sa mission d’étude de la situation du pluralisme en Turquie. Il rassemble des informations, analyses et déclarations qui ne reflètent pas systématiquement la perception de la situation par l’Observatoire Pharos, mais qui constituent des documents à intégrer dans l’analyse. Les destinataires, partenaires de l’Observatoire Pharos, sont invités à contribuer à la qualité de cette veille par le partage de toutes informations utiles et diffusables.

This newsletter is written by Pharos Observatory, an observatory of cultural and religious pluralism, as part of its assessment study of religious pluralism in Türkiye. It gathers information, analyses and speeches which may not reflect Pharos Observatory's feeling about the situation, but which should be taken into account as part of the analysis. All recipients, who are Pharos Observatory partners, are encouraged to contribute to this Watch by sharing any information that is worthwhile and fit to print.