Tapas Kanti Baul, procureur au Tribunal des Crimes Internationaux, rappelle que 33 ans après l’indépendance du Bangladesh, les droits de ses minorités sont toujours bafoués. S’appuyant sur la fameuse pièce écrite par Shakespeare, « Le Marchand de Venise », il montre que ceux qui furent hier les victimes de l’armée pakistanaise sont aujourd’hui devenus des bourreaux. Il dénonce ainsi un pouvoir politique qui détourne ses yeux des atteintes qui sont faites aux droits de l’homme contre les populations non-musulmanes.
Déc
09