Dans le Monde Diplomatique de Janvier 2015, Rodrigue Nana Ngassam s’interroge sur la capacité de réponse du Cameroun face à l’activisme et la montée en puissance territoriale de Boko Haram au Nord du pays. Dans cette région, les échanges économiques avec le Nigeria disparaissent quand les flux de réfugiés se multiplient, aggravant les difficultés d’un des territoires les plus vulnérables du pays. Au Nigeria comme au Cameroun, la secte prospère sur ce climat d’insécurité, de peur et de pauvreté, au point d’être « un pôle de ralliement pour des populations en déshérence ».
Jan
07