Bien que la liberté de croyance soit assurée par la Constitution chinoise, dans la pratique chaque culte est traité différemment par les autorités, selon le niveau de menace qu’il pourrait poser pour l’état. Le mouvement Falun Gong, par exemple, était publiquement toléré pendant les années 90, jusqu’à ce qu’il devient « menaçant » aux yeux du gouvernement. Dans ces circonstances, des groupes chrétiens appartenant à la diaspora chinoise réussissent à tisser des nouvelles alliances avec les autorités locales, afin d’opérer librement dans le pays. Ainsi, même si elle reste informelle, l’influence de la religion se fait sentir de plus en plus au sein de la société chinoise.
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