Une enquête de l’AFP vient de souligner la « structuration progressive du paysage français des mosquées ». Même si le sujet reste sensible au sein de la société, les problèmes deviennent finalement « moins politiques que financiers ». Et comme le souligne Abdallah Zekri, délégué chargé des régions de la Grande mosquée de Paris, de tels constats permettent de se réjouir que «les élus [aient] commencé à comprendre que l’islam fait partie du paysage français et qu’il est nécessaire de permettre aux musulmans de pratiquer leur religion dans la dignité. »
Juin
20