Le 12 août, la Commission européenne déclenche une aide humanitaire de 5 millions d’euros. Aide tardive ou insuffisante, la situation est telle que le Kurdistan irakien, la Turquie et la Jordanie doivent désormais, après les flux migratoires en provenance de Syrie, gérer les réfugiés irakiens. Le communiqué ce l’ACAT (Association des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture), en s’appuyant sur les atteintes faites aux droits des minorités et aux conséquences du conflit sur la région, démontre l’importance d’une aide humanitaire supplémentaire de la part de l’UE. Une pétition est également proposée pour soutenir ce point de vue.
Août
14