Dans cet article, l’auteur explique la perte de vitesse des deux principaux partis politiques palestiniens, le Fatah et le Hamas, qu’elle attribue à leurs échecs respectifs dans la défense des intérêts des Palestiniens jusqu’à l’offensive israélienne de l’été 2014. Un vide politique s’est donc créé, en particulier à Jérusalem-Est, qui repose les questions de nationalisme et de religion, et profite à la montée de groupes comme le Mouvement islamique de Raed Salah et le Hizb ut-Tahrir.
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