Suite à un jugement du magistrat Moshe Sobel, qui avait estimé le 25 avril 2013 que cinq femmes juives militantes de l’association « Femmes du Mur » n’avaient pas dérangé la sécurité publique en osant prier à voix haute devant le Mur des Lamentations, celles-ci ont pu de nouveau prier devant le Mur des lamentations à Jérusalem vendredi 10 mai 2013, cette fois-ci, en toute liberté. Un combat révélateur des tensions et évolutions en cours dans la société israélienne.
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