« Les parties maliennes devraient retourner, au plus tôt, à la table des négociations ». Ce constat, implacable, est tiré du rapport Afrique de mai 2015 d’International Crisis Group, intitulé Mali : la paix à marche forcée ? Il illustre de lui-même la faiblesse de l’« accord » du 15 mai, non signé par la Coordination des mouvements de l’Azawad, et indique que le chemin vers la paix et la réconciliation au Mali est encore long.
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