Réunis une nouvelle fois à Alger, le gouvernement malien et six groupes armés rebelles ont adopté, le 19 février, une déclaration de cessation des hostilités. Plus qu’un véritable tournant dans les négociations, cette avancée minimaliste marque néanmoins le retour d’un peu de confiance entre les parties présentes. Pour Le Monde, Jean-Philippe Rémy revient sur ce petit pas dans un processus de paix qui, s’il avance dans les coulisses d’Alger, s’enlise sur le terrain au Nord Mali.
Fév
20