L’article de ce quotidien local met l’accent sur un acte fréquent de discrimination envers la communauté guarani : il s’agit du refus formulé par les fonctionnaires du service d’état civil d’inscrire au registre des noms et prénoms guaranis. Loin d’être anecdotique, cette non-reconnaissance reflète celle, plus profonde, de la culture guarani au Paraguay, un rejet toujours d’actualité malgré l’officialisation de la langue guarani en 1992.
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