Parmi les analyses et contributions à la compréhension de la crise syrienne actuelle, celle d’Edgar Morin, sociologue et philosophe français, parue dans l’édition du 6 septembre du quotidien français Le Monde, se distingue par la remise en perspective historique qu’elle opère et par la voie de résolution qu’elle se risque à proposer, celle du compromis. Selon Morin, « Le compromis devrait se faire sous garantie internationale, voire avec la présence de forces de l’ONU. Il arrêterait les massacres et le processus de décomposition de la Syrie. Il arrêterait – avec la radicalisation actuelle – l’irrésistible progression d’Al-Qaida ». (Article payant)
Sep
06