Selon les auteurs d’un rapport de l’ONU, la résolution de la crise est compromise par le maintien d’un climat d’insécurité, l’échec à négocier des accords de paix avec les groupes armés, l’absence de réconciliation et de politique inclusive (qui pourrait se traduire notamment par une meilleure intégration de la minorité musulmane au sein de l’appareil étatique) mais aussi le sentiment fort d’un favoritisme à l’égard des chefs anti-balaka ainsi que d’un « recyclage » de l’élite politique de l’ère Bozizé.
Août
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